« Une communauté » : différence entre les versions
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Il est certes possible de vivre seul au milieu de la jungle pendant plusieurs dizaines d'années. Un militaire japonais l'a fait à la fin de la dernière grande guerre. Cependant, en vieillissant, il a dû revenir à la civilisation.
La survie est toujours possible pendant un certain temps, mais ce n'est pas le sujet de ce site. Ici, nous souhaitons vivre comme des humains debout, capables de maîtriser tout le cycle de la vie, de la naissance à la fin de nos jours, en pleine conscience et en harmonie avec notre environnement, tout en créant un avenir où nos enfants pourront eux aussi grandir, s'épanouir, et poursuivre cet héritage de manière durable et sereine.
Une Ferme de la vie, c'est 500 personnes. Bien sûr, chaque individu va vouloir faire une communauté de 20 personnes, ou de 50 personnes ou de 3000 personnes. Ils s'apercevront trop tard que l'équilibre entre les producteurs de biens et de services et les consommateurs est très complexe. Lorsqu'après plusieurs mois de calculs et de simulations, nous avons trouver que les communautés (les communes depuis 1789) qui fonctionnaient en quasi autarcie avant la grande guerre, se situaient autour de 500 personnes, nous n'avons pas cherché une meilleure solution. Nous pouvons dire que 550 personnes dans une Ferme vont mettre en évidence des déséquilibres qui seront forcément nuisibles à certaines personnes de la Ferme. Tous les "services" devront fournir 10% de travail supplémentaire. Pour les jardiniers, ce n'est pas trop grave car cela peut se répartir sur une vingtaine de personnes, pour les infirmières, cela peut être un drame car l'augmentation de travail ne correspond pas toujours aux capacités d'évolutions de la fonction.
Une Ferme, c'est un groupe qui a diverses préoccupations :
La fiabilité et la résilience de la Ferme.
La joie qu'elle procure à chacun.
La capacité de "réfléchir" à l'humain.
L'importance de la communauté intergénérationnelle :
Vivre en communauté ne se limite pas à la simple cohabitation. Il s'agit aussi de créer un environnement où les différentes générations peuvent apprendre les unes des autres, où les plus âgés transmettent leur sagesse et leur expérience, tandis que les plus jeunes apportent leur énergie et leur créativité. C'est en favorisant ces échanges que nous pouvons assurer la pérennité de la culture et des savoirs.
L'autosuffisance comme pilier de la dignité humaine :
Être capable de subvenir à ses propres besoins, en matière de nourriture, d'énergie, de soins et d'éducation, confère une grande dignité et liberté. Il n'existera plus, dans notre environnement, les moyens d'avoir accès à tous ce qui nous est nécessaire pour vivre. L'autosuffisance ne signifie pas l'isolement, mais plutôt une capacité collective à répondre aux besoins essentiels de la communauté.
La résilience face aux défis futurs : Dans un monde où les crises peuvent surgir à tout moment, qu'elles soient climatiques, économiques ou sociales, il est crucial de bâtir des communautés résilientes. Cela implique non seulement de prévoir les besoins matériels, mais aussi de renforcer les liens sociaux, de promouvoir une culture de la coopération, et de développer des compétences variées pour faire face à la vie courante et à l'inattendu.
L'éducation comme clé de la continuité : Pour maîtriser le cycle de la vie, il est essentiel d'éduquer les membres de la communauté à comprendre et respecter les cycles naturels, à développer des compétences pratiques et à cultiver une pensée critique. L'éducation doit être holistique, intégrant à la fois des savoirs ancestraux et des innovations nouvelles, pour préparer les générations futures à naviguer dans un monde totalement transformé.
L'équilibre entre tradition et innovation : Vivre comme des humains debout implique de trouver un juste milieu entre le respect des traditions qui ont fait leurs preuves et l'adoption d'innovations qui peuvent améliorer notre qualité de vie. Cela nécessite une réflexion continue et une ouverture d'esprit pour intégrer de nouvelles idées tout en préservant les valeurs fondamentales.
La spiritualité et le sens de la vie : Au-delà des besoins matériels, vivre pleinement nécessite aussi de nourrir l'esprit. Que ce soit par la spiritualité, la méditation, ou une connexion profonde avec la nature, il est essentiel de cultiver un sens du sacré et du mystère de la vie. Cela aide à maintenir un équilibre intérieur, à trouver du sens dans les défis du quotidien et à inspirer les autres à faire de même.