« L'importance de la décision » : différence entre les versions

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Dernière version du 18 janvier 2025 à 18:27

Cette page vient de : Les présentation vidéos

Le film

Vidéo deux = 10 mn. Les Fermes de la vie peuvent vous aider à prendre une décision fondamentale, vitale.


La transcription

Ariane :

Bonjour à tous. Aujourd'hui, nous devons faire un choix fondamental : devons-nous agir face à l'effondrement de notre civilisation, ou rester passifs et laisser faire ?


Didier :

C'est vrai, beaucoup d'entre nous pensent que la situation "n'est pas si mal". Mais, honnêtement, regardez ces quarante dernières années.

Comment décrirais-tu l'état des choses aujourd'hui ?


Jean :

Hmm... Eh bien, on sait que les écoles ne fonctionnent plus comme avant. On parle aussi beaucoup des hôpitaux surchargés, des terres agricoles qui s'épuisent...


Didier :

Exactement. L'école est en déroute, l'hôpital est à bout de souffle. Nos terres cultivables sont à bout, l'eau est polluée. L'industrie ? Vendue à la découpe. Les services publics ? De plus en plus faibles.


Ariane :

Et n'oublions pas la montée des maladies, la chute des taux de natalité, la dette qui enfle, la biodiversité qui s'effondre, les océans en danger, et le climat qui devient de plus en plus imprévisible.

Que faut-il de plus pour comprendre l'urgence ?


Jean :

Mais est-ce qu'on ne peut pas juste espérer que les choses s'améliorent ?


Didier :

Espérer, c'est bien. Mais ce n'est pas suffisant.

Cet effondrement pourrait continuer encore longtemps, c'est vrai.

Mais un jour, tout peut basculer à cause d'une décision, un simple geste, une mauvaise signature...

Et ce sera la fin de cette civilisation telle que nous la connaissons.


Ariane :

Nous sommes à un carrefour.

Deux chemins s'offrent à nous : continuer sur ce chemin et sombrer, ou choisir de prendre notre destin en main.


Didier :

Exactement. On peut décider de s'organiser, de se préparer, de construire un avenir qui en vaut la peine.

Un avenir serein, où la vie a du sens. C’est ce chemin-là que nous connaissons bien aux Fermes de la Vie.

Et, croyez-moi, nous pouvons vous aider. Pas d'agenda caché, pas de paiement secret. C'est du pur bénévolat, par amour de la vie.


Jean :

Donc, si je comprends bien, vous proposez de créer un nouvel environnement, une sorte de communauté qui serait préparée à faire face à l'effondrement ?


Didier :

Oui, exactement. Le projet des Fermes de la Vie propose de se préparer maintenant, avant que la situation ne devienne intenable.

On parle de recréer une vraie structure sociale, de préparer l'approvisionnement en biens essentiels — le sel, le charbon, les vêtements, l'eau, la nourriture — et surtout, de construire des lieux de vie capables de nous protéger et de permettre un avenir serein.


Ariane :

Et il ne s'agit pas seulement de biens matériels. Nous devons aussi penser aux aspects humains et sociaux.

Didier, peux-tu expliquer les principaux points ?


Didier :

Bien sûr. Regardons ensemble les exigences pour exister demain :

  • Communauté : Les humains sont plus forts ensemble. Il faut recréer des communautés soudées, capables de se soutenir face aux défis.
  • Solidarité : Aujourd'hui, on est poussés à l'individualisme. Demain, on devra réapprendre la bienveillance, et retrouver la richesse d’une vie collective non destructrice.
  • Habitat : On parle de résidences capables de résister aux températures extrêmes, aux vents violents, aux caprices du climat.
  • Alimentation : Produire de la nourriture sur des terres abîmées, en gérant les sécheresses et les pluies diluviennes, ça demandera de l'organisation. Il faut se préparer dès maintenant.
  • Santé : Proposer une médecine préventive, axée sur la santé et le bien-être, plutôt que simplement sur la maladie.
  • Éducation : Il faut une éducation qui aide les jeunes à se tenir debout, à donner du sens à leur vie. C'est une éducation qui repose sur la compréhension, pas sur la domination.
  • Autonomie : Assurer la production des biens et services pour une vie sereine, loin du chaos.


Jean :

Donc, pour résumer, vous proposez une vraie alternative ?


Didier :

Oui, exactement. Tout cela est déjà réfléchi et résolu dans les Fermes de la Vie.

Il ne manque plus que vous, que chacun se mobilise pour participer à cette vision.


Ariane :

Si vous avez des questions, venez-nous en parler sur Telegram, sur le groupe "Les Fermes de la Vie".

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