La vie, la vraie

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La Vie, la vraie

La vraie vie, c’est d’abord la famille : famille de sang, famille de cœur, famille dispersée, famille retrouvée.

C’est aussi la santé, portée par une structure forte, c’est notre lien avec notre corps, cette capacité humaine d’être et de faire.

C’est encore le travail : parfois un sacerdoce, parfois une contrainte, parfois un bonheur.

Mais demain, le travail tel que nous le connaissons n’existera plus.

Chacun fera simplement ce qui est nécessaire pour vivre heureux.

Et bien sûr, il y a l’argent — la grande addiction des sociétés modernes. Il en faut un minimum pour vivre, oui, mais il ne devrait jamais être l’objectif.

Le brouillard sur l’avenir

Aujourd’hui, tout semble aller. On vit, on rit, on court.

Mais combien de temps encore peut-on ignorer les signaux qui clignotent partout?

La guerre? La télévision en parle. Mais l’effondrement ? Bien plus probable, bien plus silencieux.

Nos dirigeants ne souhaitent pas la guerre — leur but, c’est de produire et vendre des armes, car ça rapporte.

Quant à l’effondrement, nous y sommes déjà : notre civilisation est en phase terminale.

Trop de piliers vacillent. Trop de fondations s’effritent pour espérer un miracle.

Espérer, c’est humain. Mais espérer sans agir, c’est laisser passer notre chance.

Alors, que faire ?

Attendre ? Mourir lentement ? C’est une perspective insupportable — surtout lorsqu’on est jeune, plein d’élan.

Mais vivre ? Vivre vraiment ? Cela implique de regarder en face les dangers.

Et d’accepter qu’on ne veut pas grandir dans un monde qui s’écroule.

C’est là que notre proposition intervient.

Les Fermes de la Vie

Une solution radicale, douce et réaliste à la fois.

Un village. Une communauté. Trois ambitions fondamentales et une contrainte forte, mais salvatrice.

Les trois ambitions :

1. Repenser le monde pour et par les humains :

Un monde joyeux, solidaire, équitable, où le progrès sert l’humain et non l’inverse.

2. Fonder la société sur la compétence, et non l’obéissance :

Valoriser autant le cerveau que la main, autant la pensée que l’action.

3. Guérir la nature :

Réparer les plaies que nous avons ouvertes, aider la vie à retrouver un équilibre.

La contrainte ?

Nous adapter. Urgemment.

Car le monde qui vient ne nous fera pas de cadeau : dérèglements climatiques, pénuries, violences…

Le monde de demain est un monde où "faire" est un luxe

Construire une maison ne sera plus une formalité.

Ce sera une œuvre collective. Chaque geste, chaque objet aura une chaîne de dépendance complexe.

Un simple lacet exigera une peau, un animal, un vétérinaire, une école, des outils, des savoir-faire.

Alors… imaginez ce qu’il faut pour soigner une mère, nourrir un enfant, ou réinventer la paix.

Mais ne fuyez pas !

Les Fermes de la Vie sont là pour accompagner chaque transition :

• Vous guider dans la transformation intérieure : de l’individualisme vers la bienveillance.
• Préparer la survie à 50°C à l’ombre, sous la pluie torrentielle ou le froid mordant.
• Produire une nourriture saine, garantir l’eau potable, réintroduire les abeilles et les arbres fruitiers.
• Bâtir des soins de demain, inspirés plus de la nature que de la chimie.
• Et surtout, recréer des liens humains, une communauté qui veille les uns sur les autres.

Et tout cela commence maintenant

Les premiers bienfaits arrivent vite :

Une entraide réelle. Une communauté solide. Une nourriture vivante. Des soins accessibles.

Et parfois même… une aide financière, offerte par ceux qui peuvent, à ceux qui peinent.

C’est cela, la vraie solidarité. Ce mot un peu usé qu’on redécouvre.

Mais surtout, c’est la vie.

La vie possible après l’effondrement.

Car ceux qui ne s’organisent pas, disparaîtront, souvent dans la douleur.

Si vous avez compris…

Alors vous ne resterez pas spectatrices.

Vous deviendrez ardentes défenseures de cette démarche.

Pour vous, pour vos enfants, pour celles et ceux que vous aimez.

Demain commence aujourd’hui.

Par Didier LAINARD Les Fermes de la vie

didier.lainard@lesfermesdelavie.fr