« Le premier auteur » : différence entre les versions

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L'auteur, même le premier, n'a aucune importance. Il va disparaître bientôt, en catimini, sans bruit. Peut-être qu'il sera regretté par quelques êtres aimants, mais ce qui restera, c'est l'œuvre de milliers de pionniers qui auront bâti quelque chose de grand, digne des constructeurs de pyramides et de cathédrales.  
L'auteur, même le premier, n'a aucune importance. Il va disparaître bientôt, en catimini, sans bruit. Peut-être qu'il sera regretté par quelques êtres aimants, mais ce qui restera, c'est l'œuvre de milliers de pionniers qui auront bâti quelque chose de grand, digne des constructeurs de pyramides et de cathédrales.  
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L'auteur, même le premier, n'a aucune importance. Il va disparaître bientôt, en catimini, sans bruit. Peut-être qu'il sera regretté par quelques êtres aimants, mais ce qui restera, c'est l'œuvre de milliers de pionniers qui auront bâti quelque chose de grand, digne des constructeurs de pyramides et de cathédrales.

Eux, ces bâtisseurs du futur, auront offert à la vie une chance de continuer, de fleurir avec les immenses qualités des êtres humains. Parce que oui, l'humanité en est capable.

Elle a ses défauts, ses failles abyssales, mais le plus grand progrès sera justement d'apprendre à les maîtriser, à les dompter.

Et croyez-moi, ce ne sera pas facile. Mais cela vaudra chaque goutte de sueur, chaque pas douloureux sur ce chemin escarpé.

Pour les innombrables curieux, je m'appelle Didier LAINARD.

Je suis un ancien ingénieur, devenu apiculteur une fois à la retraite. Puis, quand j'ai entendu Jean-Marc JANCOVICI faire ce lien impitoyable entre la consommation de pétrole et le PIB, j'ai remis les mains dans le cambouis.

J'ai repris du service, revenant à la conception et à la maîtrise de systèmes complexes à comportement parallèle. Oui, M. JANCOVICI a bien vieilli depuis. Mais moi ? Ah non, moi, je ne vieillis pas. Pas quand je pense à ce qui est en jeu.

Je me suis réveillé parce que j'avais autour de moi plein de petites bestioles adorables qui me faisaient parfois des bisous – mes petits-enfants.

Et je ne pouvais imaginer, ou plutôt, je refusais d'imaginer qu'elles finissent leur vie avant d'avoir trente ans. C'était insupportable, inenvisageable.

Et c'est ainsi que, de fil en aiguille, tout ce projet est né, et vous voilà maintenant en train de lire ces lignes. Pardonnez-moi pour toutes ces heures de lecture imposée.

Il faut que je le souligne avec force : je suis absolument nul en communication, en marketing, en gestion financière et en beaucoup d'autres domaines.

Et non seulement je suis nul, mais en plus, je m'en fiche complètement. Si vous avez un quelconque intérêt pour ce projet, c'est que vous avez compris l'essentiel, et c'est tout ce qui compte.

J'avais une association – elle existe encore juridiquement – appelée "Les Fermes de la Vie". À une époque, elle fonctionnait à merveille, grâce à des personnes formidables comme Liliane et André Pracht, Arlette Pellerin, Dominique Lelong, Evelyne, et tant d'autres.

Et puis, il y a eu Selim Bouhamran, un homme presque miraculeux de compétence et de bienveillance. Mais il a suffi d'une fichue Covid, soignée au Doliprane, pour me clouer 14 mois à l'hôpital, et mettre un terme brutal à toutes les activités de cette association.

Pour vous en dire un peu plus sur moi, sachez que je n'appartiens à aucun parti politique, ni à aucune obédience. Je suis libre. Tellement libre que je ne supporte même pas une bague, un bracelet ou un collier autour de mon cou.

Je n'aime pas les chapelles, même celles qui sont proches de mes préoccupations, comme la collapsologie. Le survivalisme ? Je n'en sais rien, et ça ne m'intéresse pas vraiment, parce que ça n'offre aucun sens durable à la vie. Je veux bien plus qu'une simple survie.

Je suis déjà dans l'autre monde. Le film qui se déroule sous nos yeux, celui qui tente désespérément de capter notre attention, m'est devenu indifférent. Je ne joue plus à ce jeu-là. L'argent, pareil, il ne m'intéresse pas.

Une idée intelligente, capable d'aider ceux qui en ont le plus besoin, a bien plus de valeur que toutes les fortunes de ce monde. Alors oui, je suis totalement bénévole. Et je le resterai.

Si vous voulez vous joindre à moi, si vous ressentez cet appel, alors ensemble... construisons quelque chose de grand.

Parce que, que vous soyez jeune ou vieux, riche ou pauvre, si vous ressentez cette soif de vivre, de bâtir un avenir qui ait du sens – un avenir digne de nos rêves les plus fous, un avenir qui donne envie de rire et de chanter sous la pluie – alors vous êtes le bienvenu.

Et nous ferons de cette utopie, non pas un rêve, mais une réalité que personne ne pourra nous enlever.


didier.lainard@lesfermesdelavie.fr

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