Le tocsin sonne
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Un appel désespéré, mais nécessaire
Ariane : "Didier, pourquoi cette vidéo sonne-t-elle comme un tocsin ? Pourquoi ce ton si grave ?"
Didier : "Parce qu’il est urgent de dire la vérité, Ariane.
Depuis vingt ans, je travaille à donner un avenir à mes petites-filles, à leurs copains et copines, et à tous les enfants de ce monde.
Mais aujourd’hui, je suis forcé de reconnaître une vérité brutale : nous fonçons droit dans le mur.
Et tout ce que j’ai essayé pourrait bien échouer."
Le constat d’un échec collectif
Je ne suis pas seul dans cette lutte.
Monsieur Jean-Marc Jancovici a tiré la sonnette d’alarme sur la transition écologique. Il a démontré, chiffres à l’appui, l’urgence d’agir.
Mais ni les politiques, ni les décideurs, ni même la population ne l’ont écouté.
Monsieur Yves Cochet s’est replié sur des initiatives locales, mais n’a pas réussi à fédérer au-delà de son village.
Monsieur Frédéric Vidal a lancé un réseau dédié à la création d'un internet humain qui est devenu un banal réseau généraliste sur de nombreux sujets, mais il a évité de se concentrer sur la survie de la majorité.
Et même les Fermes de la Vie, notre projet commun d’un avenir résilient, ont perdu leur élan après la pandémie de COVID.
Un temps qui nous échappe
“Le temps passe, et la France s’enfonce.
L’effondrement de notre civilisation est une ombre grandissante, prête à s’abattre.
Et pourtant, nous ne pouvons pas improviser une solution.
Cela demande six années et des efforts colossaux pour bâtir les bases d’une vie au-delà du grand chambardement.”
Mais la fenêtre pour agir se ferme.
Si nous ne faisons rien, ce travail monumental sera balayé. Je refuse de laisser cela se produire sans analyser la situation et transmettre ce que j’ai appris.
L’effondrement : une réalité brutale
L’effondrement de la civilisation ne sera pas un moment paisible à passer.
Il sera marqué par des voisins et amis, désespérés, prêts à tout pour survivre, même à la violence.
Les réserves d’eau potable et de nourriture s’épuiseront, les maladies se propageront sans médicaments, et des millions mourront, rien qu’en France.
Et si vous êtes humain, allez vous resté couché sur votre divan en attendant que vos enfants meurent ?
Pourquoi ? Deux grandes causes se combinent pour précipiter cette chute :
- L’environnement extérieur :
- Pollution massive des sols, de l’eau et de l’air par des produits chimiques.
- Destruction des terres agricoles, déforestation et urbanisation aveugle.
- Déclin de la natalité, reflet de vies sans sens.
- Appauvrissement économique et moral de la nation.* Une société dominée par l’individualisme et la quête effrénée du profit.
2. La nature humaine :
- Sédentarité et déclin physique avec une capacité pulmonaire réduite de 20 % en 40 ans.
- Domination des médias, formatant les pensées et détruisant l’esprit critique.
- Perte du lien avec la nature, de la lecture, du rire, de l’amour véritable.
Un pays à bout de souffle
La France est vidée de sa substance :
- Une industrie détruite, incapable de produire des richesses communes.
- Un système éducatif en déclin.
- Des hôpitaux en crise, dépendants de médecins étrangers sous-payés.
- Une agriculture sacrifiée au profit de multinationales sans scrupules.
- Une alimentation qui pousse la jeunesse vers l’infarctus avant 30 ans.
- Une dette pharaonique qui annihile toutes possibilités d’agir.
La société ne peut évoluer dans ces conditions.
Pourtant, une solution existe.
Une lumière dans l’obscurité : les Fermes de la Vie
“Moins d’une personne sur cent survivra après le grand chambardement.
Où sont ces perles rares ?
À elles, je propose une vie pleine de sens, plus heureuse que celle que nous vivons aujourd’hui.”
Les Fermes de la Vie ne sont pas seulement un abri contre la tempête.
Les Fermes de la vie sont des lieux où :
- La joie de vivre remplace la quête d’argent.
- L’égo n’est pas une force destructive, mais un moteur pour faire avancer la communauté.
- Chaque effort contribue à reconstruire une civilisation humaine, résiliente et heureuse.