Il ne faut pas avoir peur

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Vous avez entendu parler de l'effondrement. Trop, vraiment trop. Ras le bol !

Affronter la violence, la mort, la destruction ? Vous en avez déjà assez à la télé chaque soir.

Et vous, vous voulez vivre, vous ne voulez surtout pas arrêter de vivre.

Nous, aux "Fermes de la Vie", on est complètement d'accord avec vous.

Nous voulons échapper à la morosité ambiante, à ce futur nauséabond.

Nous voulons échapper à cette perte de sens qui s'insinue dans chaque aspect de nos vies.

Et c'est là le plus important.

Aujourd'hui, l'imaginaire collectif autour de l'effondrement est flou, mais dans les mois qui viennent, cette idée va se préciser : à quoi bon travailler, à quoi bon vivre, si la fin est déjà écrite et toute proche ?

Pourtant, dans une Ferme de la Vie, le sens est riche, vivant, ambitieux, peut-être même comme vous ne l'avez jamais vécu auparavant.

C'est un projet qui réinvente le quotidien, qui donne à chaque action, chaque effort, une raison d'être.

Dès les six premiers mois, la Ferme de la Vie vous apporte des légumes, des viandes, des œufs.

Vous verrez apparaître, pendant la quatrième année, un village de vie, qui pourra servir de village de vacances, sécurisé et agréable à vivre, non seulement grâce à son paysage, mais surtout grâce à la communauté qui y vit.

Dans cette même quatrième année, certaines familles pourront emménager dans une maison plus grande et plus confortable qu'elles n'en ont jamais eue. Imaginez : passer d'un appartement HLM à une maison de 280m², une expérience inoubliable.

Oui, il faudra travailler, et ce ne sera pas facile tous les jours, mais ce sera bien moins pénible que dans cette civilisation actuelle.

Parce que ce que vous ferez aura du sens, pour vous, pour les jeunes, et pour offrir une vieillesse heureuse à vos parents, même très âgés.

La vie retrouvera une réelle saveur, non polluée par l'argent ou par la peur de l'insécurité.

Une vie où chaque instant comptera, où chaque lien sera une source de richesse.

Alors, que pensez-vous de ce programme ?

Pour nous, les fermiers, l'effondrement est comme un volcan qui détruit des paysages et des vies... mais très loin de chez nous.

Nous voulons bâtir une oasis, un refuge, où le mot "avenir" signifie quelque chose de beau, de tangible, de plein d'espoir.