Recruter maintenant
Le recrutement pour les Fermes de la vie
Le recrutement, c’est une action qui mêle marketing, communication et relations humaines.
Ce sont des domaines qui sortent largement de mes compétences, mais je sais une chose : si vous me contredisez sur ce sujet, c’est peut-être que vous avez des idées meilleures ou que vous êtes capables de prendre le relais.
Et cela, c’est déjà formidable.
Qui recruter pour intégrer les Fermes de la vie ?
Beaucoup plus de personnes qu’on ne le pense ont une conscience, même floue, de l’effondrement imminent de notre civilisation.
Pourtant, peu y croient vraiment. L’idée que notre mode de vie pourrait se terminer d’ici 2030 semble encore irréelle pour la majorité.
Peut-être que, si nous avons de la chance, la civilisation actuelle tiendra jusqu’en 2040, voire un peu plus.
Mais ce qui est certain, c’est que la vie va devenir de plus en plus difficile.
Imaginez : même dans l’hypothèse improbable où un leader exceptionnel prendrait le pouvoir et réussirait à rebâtir une France forte, il resterait encore une multitude de problèmes à affronter.
Entre les changements climatiques, l’épuisement des sols, les dettes colossales, la dégradation de la santé des actifs et l’effondrement social, les obstacles s’accumulent et semblent insurmontables.
Malgré cela, chacun a son propre imaginaire sur ce que l’avenir pourrait être.
Parfois, cela se manifeste par des pensées actives, visibles sur les réseaux sociaux ou dans des initiatives comme le réseau Solaris.
Mais ces fragments de réflexion suffisent-ils pour permettre à des individus de survivre aux phases violentes de l’effondrement, de reconstruire après et surtout de donner un sens à leur existence ?
Donner un sens à la vie
Le sens de la vie, voilà une notion complexe et fondamentale.
Dans cette civilisation, beaucoup passent leur vie à effectuer des tâches répétitives, des travaux routiniers qui manquent cruellement de sens.
Mais si l’on revient à l’essentiel, le sens de la vie, c’est peut-être simplement de perpétuer la vie elle-même.
Cela dit, pour atteindre ce but, il faut un certain confort : un confort à la fois physique et mental.
Mais attention, ce confort ne doit pas être confondu avec l’immobilité ou la passivité que nous impose souvent la civilisation actuelle.
En effet, l’inactivité, même confortable à court terme, finit par nous priver de vitalité et de joie.
Le corps a besoin d’être en mouvement, tout comme l’esprit a besoin d’être stimulé.
Le contact humain, l’art, la musique, la littérature : tout cela nourrit notre sensibilité et notre intelligence.
Pour vivre pleinement, il faut conjuguer la tête et les jambes, en trouvant un équilibre entre l’activité physique et mentale.
Construire un lieu de vie serein
Pour garantir une vie sereine demain, il faudra une organisation précise et robuste.
Il faudra apprendre à surmonter les défis grandissants : un climat de plus en plus instable, des ressources empoisonnées par cette civilisation et la pénurie de produits essentiels.
Un lieu de vie, une Ferme de la vie, devra offrir une stabilité et une sécurité qui font cruellement défaut aujourd’hui.
Il faudra des toits solides, des réserves d’eau renouvelables, des moyens de subsistance et, surtout, une communauté unie capable de s’épauler mutuellement.
Mais il ne s’agit pas seulement de survie matérielle.
Une Ferme, c’est aussi un lieu pour apprendre à vivre ensemble, à rire ensemble, à chanter, à danser, et à s’exprimer à travers des formes d’art.
La complexité des Fermes de la vie
Les Fermes de la vie ne peuvent fonctionner comme un rassemblement informel de personnes isolées.
Il faut construire une communauté capable de transcender les égos et de travailler main dans la main.
Il faut cultiver l’entraide, la compréhension mutuelle et l’amour de la vie.
Vivre ensemble dans une Ferme, c’est apprendre à s’aimer, à se parler et à construire une existence où chacun a sa place.
Le recrutement en pratique
Il est parfois difficile de faire comprendre l’esprit des Fermes de la vie à des personnes habituées au confort artificiel de la modernité.
Pourtant, il est possible d’attirer l’attention en jouant sur deux axes principaux :
Les liens d’amitié
Parlez de votre expérience personnelle : « Tu devrais voir les Fermes de la vie.
J’y participe et c’est une solution concrète pour faire face aux défis grandissants.
Didier organise une vidéoconférence mercredi prochain. Si tu es intéressé(e), je peux te partager le lien. »
Adaptez-vous aux disponibilités : << Si tu n’es pas libre mercredi, dis-moi quand cela t’arrange, et nous organiserons une autre session. >>
Les relations professionnelles et les connaissances
Présentez le projet comme une opportunité collective : « Vous devriez jeter un œil aux Fermes de la vie.
Ce projet propose une alternative crédible pour affronter les défis de notre temps. Une vidéoconférence est prévue cette semaine, je peux vous transmettre les détails si cela vous intéresse. »
En fin de compte, le recrutement pour les Fermes de la vie repose sur la capacité à transmettre l’espoir d’une vie meilleure, en montrant que, même dans l’incertitude, il est possible de construire un avenir digne et serein.
Nous ne pouvons pas recruter tout le monde, mais chaque individu qui se joint à nous renforce notre capacité à créer un monde où la vie a un sens.