Bienvenue

Cette page vient de : Groupe d'action

Bienvenue dans ce groupe, gardien de notre grande idée.

Je viens de créer cet espace. Il rassemble des personnes d’une humanité exceptionnelle, capables de faire naître cette grande idée, de la porter, et peut-être, si je devais un jour suspendre mes activités, de la poursuivre.

Rassurez-vous, je suis en pleine santé. Et j’espère encore longtemps pouvoir vous murmurer mes joies, mes rêves, et ces éclats de vie qui nous animent tous.

Ce groupe restera intime, car ici, nous parlerons peu, mais avec justesse, profondeur et clarté.

Je l’ai constitué avec des choix qui échappent parfois à l’objectivité.

Ce qui m’attire chez vous, ce sont ces petites choses : un regard lumineux, l’intonation d’une voix, une idée pétillante. Ces détails, infimes pour d’autres, sont pour moi des révélateurs d’une grande humanité.

• Tassadit, pour moi, est un morceau de soleil. Elle s’occupera de tout ce qu’elle souhaite dans ce projet, avec cette lumière qu’elle porte en elle.

• Stephy est une petite poupée à la vie intense, peintre en bâtiment et artiste dans l’âme. Avec une profondeur unique, elle m’a un jour dit : "Je fais une Ferme !" Elle voulait même payer mon livre. C’est la vie incarnée.

• Monika : sa voix me transporte. Dès que je l’ai entendue, j’ai pensé à Oum Kalthoum ou Mahalia Jackson, ces voix qui dansent et qui font danser votre âme.

• Renée Secco : la première à croire en ce projet, à offrir un terrain de trois hectares pour une Ferme. La Covid a balayé ses espoirs, même si Selim a tenté de les raviver.

• Mariama : dont je n’ai entendu que la voix. J'ai compris son expérience. Il fallait en avoir à cette époque pour faire ce que je comprends.

• Frédéric Dugord : un homme, avec tout ce que cela implique. Il chasse, il combat, mais il a une rare qualité : il veut partager les richesses. Dans notre monde, il faut protéger des hommes comme lui, car leur générosité est trop souvent exploitée.

• Fatima Jriri : Des yeux pétillants et volontaires, et qui a envie de faire des choses. Allons y ensemble.

• Et peut-être Selim, s’il le souhaite. En Inde, il cultive l’essence de l’humain. Selim est mon ami, et je lui ai demandé de nous envoyer des ondes positives.

Ce groupe ne s’agrandira que très peu, et uniquement si vous le souhaitez.

Vous pourriez penser que vous n’êtes pas à la hauteur pour conduire un tel projet.

Permettez-moi d’en douter : j’ai eu le privilège de travailler sur des projets ambitieux dans le spatial et au CEA DAM.

J’y ai croisé de grands esprits, mais les véritables grandes personnes étaient souvent celles qu’on ne remarque pas : une soudeuse minutieuse sur une carte de TT&C ou un foreur maîtrisant l’art des grands trous.

L’excellence réside dans l’humilité et le cœur.

Ce projet demandera technique, rigueur et moyens. Ces choses viendront lorsque l’urgence vitale de ce projet se fera sentir.

Mais ce qui est crucial dès maintenant, c’est l’humanité, l’amour de la vie, le sens du collectif. Nous devons cultiver la joie, la tendresse, le plaisir.

Tous ceux qui rejoindront les Fermes, quelle que soit leur croyance, leur couleur de peau, leur fortune ou leur santé, sont déjà pour moi comme mes enfants : des enfants qu’il faut accompagner, parfois malgré eux, vers la vie.

Je ne sais pas encore ce que nous ferons précisément dans ce groupe. Mais je sais que j’ai besoin de parler de ce projet, pas seulement en surface, mais dans ses moindres recoins : dans sa complexité humaine, dans ses défis, dans ses cœurs et ses âmes.

Et pour cela, j’ai besoin de vous.

Didier