L'argent dans les Fermes
Cette page vient de : Préparation des visio
Comment imaginez-vous votre futur ? Comment le comprenez-vous ?
Si vous êtes pauvre, votre vie est une quête constante : trouver de quoi subsister demain.
Si vous êtes aisé, ou même riche, c’est l’inverse : comment améliorer votre confort, comment être encore mieux demain ?
Mais l’évolution de notre monde rebattra toutes les cartes.
Les pauvres ne le seront plus.
Les riches, pour survivre au bouleversement, devront retrouver un sens. Un sens profond. Humain. Humaniste.
Exemple : la Grèce.
L’exemple grec est devant nous, si proche. Et pourtant, combien d’entre nous refusent de tirer les leçons de ce naufrage ?
Les Fermes de la Vie existent justement pour éviter que notre destin collectif ne suive la même pente.
Le choc du réel
La situation est grave.
Tellement grave que la dissonance cognitive devient une défense : on ne veut pas voir, on ne peut plus penser.
Et pourtant… une simple prise de conscience, un soupçon de réflexion, suffisent à tout changer.
Pauvres ou riches, vous pouvez améliorer votre vie et renouer avec la dignité humaine. Ensemble.
Un futur probable
Notre civilisation peut encore fonctionner jusqu’en 2030. Peut-être même un peu plus longtemps…
Mais cette survie prolongée ne fera qu’accroître la souffrance :
- Chute des services publics
- Ruptures d’approvisionnement
- Explosion de maladies liées aux produits chimiques
- Épuisement de l’eau, de l’air, du sol
- Vulnérabilité croissante face aux grèves, aux révoltes…
Vivre deviendra chaque jour plus difficile.
Est-il possible d’échapper à cela ?
C’est justement l’objectif des Fermes de la Vie.
Pendant que le monde chancelle, elles offrent une oasis : autonomie, santé, communauté, sens.
Pour 500 personnes, tout est conçu pour rendre la vie non seulement possible, mais joyeuse.
Quand l’effondrement surviendra — brutal, imprévisible — vous serez prêts.
Le plus dur ne sera pas la pénurie, ni même la violence. Ce sera le regard des enfants que vous n’aurez pas pu sauver.
Et l’argent, dans tout cela ?
Aujourd’hui, sans argent, vous n’existez plus.
Mais dans ce monde chaotique, l’argent perd peu à peu son sens. Il est instable, manipulé, déprécié.
- Le dollar a perdu 60 % de sa valeur en 10 ans.
- L’euro : 40 %.
- La richesse n’est plus produite : elle est siphonnée par des prédateurs qui pillent les systèmes sociaux et armés.
Ce que nous pouvons faire
L’avenir est incertain, mais certains placements peuvent encore avoir du sens :
- L’or physique (mais attention à la régulation des États).
- Les cryptomonnaies (hors système bancaire).
- Des stratégies d’investissement pilotées par des experts capables de naviguer dans le chaos.
Mais les Fermes de la Vie ne sont pas une entreprise financière.
Elles n’ont qu’un objectif : préparer la Vie.
À quoi doit servir l’argent ?
- Pour les riches, il peut servir à mieux vivre dans un monde qui se désagrège, à retrouver un sens.
- Pour les pauvres, les Fermes de la Vie offriront dès aujourd’hui :
- Une alimentation saine et produite sur place
- Un logement durable
- Un tissu social bienveillant
- Une autonomie qui protège du chaos
Mais il faut le dire avec force : dans les Fermes de la Vie, l’argent n’aura plus de valeur.
Un lacet pour vos chaussures vaudra autant qu’une opération à cœur ouvert. Car ce ne sera plus l’objet ou le service qui comptera, mais la vie elle-même.
Une mission pour quelques-uns
Au sein de chaque Ferme, trois à quatre personnes, membres du groupe de gestion, auront la responsabilité de gérer l'argent tant que cette civilisation existe.
Ils ne seront pas des gestionnaires de fortune, mais des artisans de l’avenir.
L’argent servira à bâtir, à construire, à nourrir, à soigner. Et puis, un jour, il ne servira plus à rien.
Pour conclure…
L’argent ne se mange pas.
L’argent ne fait pas rire.
L’argent ne soigne pas.
L’argent ne permet pas d’aimer.
Ce que nous construisons, c’est un monde où l’argent s’efface au profit du lien, de la compétence, de la générosité.
Un jour, des personnes imprévoyantes frapperont à notre porte.
Elles supplieront d’entrer.
Mais ni leur or, ni leurs billets ne leur ouvriront cette porte.
Car cette porte est gardée par une règle simple : la Vie n’a pas de prix.