L'autonomie maintenant et après
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Il est crucial, dès le début de notre démarche, de comprendre que nous devons impérativement ne compter que sur nous-mêmes. "Devoir" prend ici tout son sens : il n'y a pas de demi-mesure, pas de dépendance possible.
Si des aides sincères, réellement philanthropiques, nous viennent de l'extérieur, il serait absurde de les refuser sans réfléchir. Mais il est tout aussi dangereux de les accepter sans les questionner.
Regardons les choses en face : le patron de telle immense entreprise américaine, qui a "investi" 50 milliards dans des ONG pour soi-disant venir en aide aux peuples en difficulté, a récolté 50 milliards supplémentaires en retour.
C'était une aide qui rapportait bien, non ? Et depuis cette époque où l'on jouait avec des broutilles, les sommes en jeu ont explosé — mais les investissements dans les vraies solutions n'ont jamais suivi la même courbe.
Ce même personnage a continué son jeu de pouvoir en prenant le contrôle de l'OMS, l'Organisation Mondiale de la Santé, qui dicte aujourd'hui ses injonctions avec la force d'une organisation prétendument indépendante.
Mais l'est-elle vraiment encore ? "Faites-vous vacciner," qu'ils disent, et soit, cela peut être nécessaire, mais c'est bien à moi de décider, c'est bien à nous de faire ce choix.
Il est peu probable qu'un tel individu vienne frapper à notre porte pour financer nos projets. Mais l'idée demeure : la vigilance s'impose, même face à des interventions minimes. Chaque aide venue de l'extérieur doit être examinée comme un potentiel cheval de Troie.
De la même manière, ne vous attendez pas à ce que l'État ou ses représentants nous aident, sans contrepartie, sans arrière-pensée.
S'ils nous interdisent une action, qu'il en soit ainsi. Mais l'idée qu'ils viennent généreusement nous tendre la main est une illusion dangereuse.
L'indépendance est non seulement une nécessité, mais une règle de survie. Nous devons apprendre à nous fier à notre propre intelligence et à nos propres forces. Cela semblera d'abord difficile, voire impossible, mais c'est le seul chemin viable.
Trois cents cerveaux unis pour résoudre un problème, et ce problème cesse d'exister.
L'aide extérieure, lorsqu'elle ne s'accompagne pas d'un engagement corps et âme au sein de la Ferme, est un poison.
C'est comme les bagages accompagnés dans un avion : si vous ne l'accompagnez pas, c'est que vous n'êtes peut-être pas tout à fait clair sur son contenu.
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